Voila une semaine que je n’ai pas écris, mon manque d’idées et d’enthousiasme se prolongeant (je suis en train de devenir un vieux rabougris). Heureusement, depuis aujourd’hui mon hebergeur me propose une solution :
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Il y a quelque temps, je publiai un post parlant de mes difficultés à écrire suite à mon changement d’environnement professionnel, du manque d’inspiration résultant de ce nouveau poste et des collègues allant avec.
Je sais bien que je dois trouver l’inspiration ailleurs qu’au boulot. Pourtant ce job à tendance à me vider, à me racornir pour me transformer en une sorte de pantin sans vie ni esprit propre. Du coup, je n’ai pas grand chose à raconter, je ne sais plus comment le dire et encore moins comment faire en sorte que ce soit intéressant.
Ceci dit, même si je suis en train de me transformer en petit bonhomme terne et aussi passionnant qu’une première partie de soirée le vendredi soir sur TF1, je ne laisse pas tomber ce blog.
C’était ma complainte du lundi.
C’est définitif, je suis une sorte d’ours inversé. Je me rends compte que je tends à hiberner en été. La chaleur annihile mes envie, bride mes capacités et détruit ma vie sociale.
Quelqu’un sait faire la danse de la pluie ?
Vous ne vous en êtes peut être pas aperçu mais voila une dizaine de jour que je n’ai rien posté (ce qui, soit dit en passant, à permis à mon blog de connaître un pic de visite… je ne sais pas trop comment je dois le prendre). Je vous rassure, je n’étais pas en vacance (ce mot ne fait plus parti de mon horizon des possibles jusqu’à juin 2012). La question qui doit assaillir votre esprit à l’instant c’est « pourquoi » ? (ou alors, « qu’est ce que je vais bien pouvoir manger ce soir ? »)
La réponse tient en deux parties : Premièrement, mon grand âge aidant sûrement, je suis en ce moment fatigué comme je l’ai rarement été dans ma vie (et le monde qui persiste à penser que les job administratif sont moins épuisant). Du coup, quand je rentre chez moi, je fais un rapide tour du net et je me couche.
Deuxièmement, mon nouvel environnement aidant certainement, j’ai de moins en moins d’inspiration. Mon ancien job (et surtout mes anciens collègues (notamment mon ex binome)) étaient sans le vouloir des sources d’idées, ils me fournissaient quotidiennement une sorte de carburant intellectuel. Or, dans ce nouveau job, il n’y pas de locomotive de l’imagination et, par conséquent, j’ai un peu de mal à accoucher d’articles.
Ceci dit, en tant qu’individus à part entière à priori doté d’une intelligence propre, je vais tenter de m’en sortir tout seul pour pondre quelque chose d’intéressant.
Après des semaines de déclin, nous y sommes : je n’ai aucun lien pour le fatras de cette semaine.
Est ce la fin d’une rubrique ?
On verra ça la semaine prochaine. (Rooo, le teasing de malade).
Cette nuit, j’ai rêvé et, fait rarissime, je me suis plus ou moins souvenu de mon rêve. Suffisamment en tout cas, pour m’apercevoir que, même dans mes rêves, je manque de charisme.
Je ne crois pas vraiment à la chance ou à la malchance mais plutôt au hasard. En fait, si un élément de ma vie est en mesure d’ébranler ce concept, c’est ma voiture.
Vous savez que 2 jours avant le début de mon nouveau travail/formation, j’ai été percuté par un camion. S’en suit un mois d’aller et retours entre le garagiste agréé et mon expert, de coups de fils à mon assurance et de moultes autres péripéties. Dernière en date : Au mois d’avril, j’avais fait changer mes pneus avants. A priori, aucun problème sauf que mon garagiste m’avait monté deux pneus différents (que j’ai donc du faire changer pour passer au contrôle technique).
Aujourd’hui, alors que je récupère ma voiture, je m’aperçois qu’une ampoule reste en permanence allumée dans le coffre et surtout que mon siège n’a pas été réparé. En gros, le dossier reste coucher donc je conduis sur un pouf.
Bref, bien que je ne sois pas responsable de l’accident, j’ai actuellement déboursé 900 euros de ma poche, je dois encore aller voir mon garagiste agréé pour régler ces problème de fauteuil et d’ampoule et surtout, je n’ose plus m’arrêter au feux oranges. Avant je me disais : « peu importe qu’ils me percutent, c’est de leur faute, je suis couvert« . Maintenant je me dit : « si un jour, je m’achète une voiture neuve, je recommence à m’arrêter à l’orange« .
En fait, je voulais écrire un article sur le rapport entre ma vie professionnelle actuelle et mon passé d’étudiant. Entre temps, j’ai regardé les statistiques du blog et, un peu à la manière d’un poisson ou d’un insecte bêtement attiré par une lumière, j’ai enchaîne un post sur la provenance.
Voilà dans quel état intellectuel j’ai passé cet examen.
La citation d’hier n’a pas été choisi au hasard. Comme vous le savez, j’ai eu un accident de voiture pour lequel je ne suis absolument pas responsable (à part, bien sur, si on estime que freiner à l’orange est une erreur de conduite). Or je connais maintenant la conclusion de l’expert : argus de ma voiture environ 1800 euros et frais de réparations à peu près 3500 euros. Donc, les réparations ne seront pas prise en charge par l’assurance. Je m’y attendais donc ce n’est pas vraiment une surprise.
Pourtant, ce qui est désagréable, c’est cette impression de ne pas pouvoir sortir la tête de l’eau. Attention, je ne vous ponds pas un couplé à la Victor Hugo ou je vous explique à quel point je suis pauvre etc. Je suis bien conscient d’avoir plus de chance que certains. Cependant : si un « riche » avait eu le même accident, avec une voiture plus récente donc mieux cotée, les réparations auraient intégralement été prise en charge. Non seulement je n’ai pas les moyens de m’acheter une voiture récente (par ce que, soyons lucide, je ne roule pas dans une twingo de 96 par goût personnel) mais en plus, cemanque de fond à la base me pénalise dans le coût de mon assurance (puisque je paye un peu plus cher du fait de l’ancienneté de mon véhicule), dans mes frais quotidien (un vieux tacot consomme plus d’essence et doit être réparé plus souvent) mais aussi dans les accidents qui ne sont pas du tout de ma faute.
Sois pauvre et tais toi.
Les clés sont dans l'escalier... 